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Traumatisme/Deuil

Gestion du deuil

Dépassez votre traumatisme !

Confronté à de vives émotions, le cerveau est parfois sur le moment incapable de penser logiquement et de digérer ce qui est vécu. L’expérience traumatique « gèle » le processus de traitement de l’information. Certaines personnes sont alors amenées à se repasser en boucle des scènes, à en revivre les sensations et à rester bloqué dans ce traumatisme. En état d’alerte permanent, tout ce qui rappelle de près ou de loin l’événement devient un déclencheur.
Sommeil perturbé, difficultés à se concentrer et à gérer ses émotions, somatisations… Le trauma amène des manifestations qui perdurent bien après l’événement ou le choc émotionnel vécu.
Parfois, il est bon de reconnaître qu’une aide serait la bienvenue dans cette épreuve, et l’hypnose est un allié de taille pour vivre la situation.

  • Nombre de séance(s) : 1 minimum.
  • Durée de la séance : 1h30.
  • Prix de la séance : 70 €.
06 63 67 67 25

Généralement causé par un choc émotionnel, le traumatisme psychique provoque des blessures physiques ou psychologiques chez un individu, pouvant entraîner des conséquences néfastes sur sa santé physique et mentale. Le stress post-traumatique, comme l’appelle les spécialistes, est un phénomène courant qui se soigne à travers des séances de méditation, de yoga ou même d’hypnose.

Le degré de sensibilité varie d’un individu à un autre. Il existe donc autant de causes que de symptômes du traumatisme psychique. Etablir une liste définitive des événements susceptibles de déclencher un état post-traumatique chez un individu serait impossible. Cependant, certains événements itératifs peuvent être définis comme principales sources de ce mal-être :

  • Un accident grave de voiture, bateau, moto, avion ou train,
  • Une exposition régulière à des situations aversives,
  • Un abus sexuel,
  • Le décès d’un proche,
  • Une maltraitance,
  • Des conflits ou combats répétitifs,
  • Une prise d’otage,
  • Une séquestration,
  • Un attentat,
  • Une agression physique ou morale,
  • Un braquage,
  • Une fausse couche.

Suite à ces événements, l’individu plonge dans un état post-traumatique incontrôlable, causant des réactions complètement inattendues.

  • Les cauchemars et flashbacks,
  • Les pensées et images intrusives,
  • L’hypervigilance et l’irritabilité,
  • Les réactions négatives,
  • Le pessimisme,
  • La perte d’intérêt pour les activités ordinaires,
  • Les maux de tête sévères,
  • Les vertiges,
  • Les maux d’estomac,
  • Les sueurs,
  • Les tremblements,
  • Les douleurs thoraciques,
  • La dépression,
  • Les phobies,
  • L’anxiété.

L’hypnose peut soigner un traumatisme psychique :
Généralement, un individu victime de traumatisme se rend compte immédiatement de sa situation après un choc émotionnel. Sa démarche thérapeutique provient souvent d’une intervention tierce qui se manifeste ultérieurement. Là où le traitement médicamenteux cherche à agir directement sur l’état physique du patient, l’hypnose s’intéresse aux événements passés pour l’aider à surmonter ses peurs et ses angoisses.
L’hypnothérapie plonge l’individu dans son passé pour l’aider à se délivrer de ses émotions négatives. Au travers de ce parcours, il met fin à une expérience traumatisante pour se réveiller dans la réalité. L’hypnose lui permet d’avancer sans se retourner incessamment afin d’éviter des blessures inutiles. Pour cela, le thérapeute exploite les ressources non conscientes du patient pour lui permettre d’affronter l’adversité. Il aide le patient à retrouver son chemin au travers de questions pertinentes et profondes.
Lors d’une séance d’hypnose, le thérapeute entre en fusion avec le patient. Il développe ainsi une empathie qui permet de réfléchir davantage sur les besoins exacts de celui-ci. A chaque séance, le patient devient à la fois acteur et spectateur de son ressenti. A lui seul, il peut trouver une issue à ses problèmes, sans se laisser abattre par les douleurs et la souffrance.

Les avantages de l’hypnose :
Certaines blessures causées par des incidents graves sont plus profondes et plus persistantes que d’autres. Seule l’hypnose considère cet aspect du traumatisme psychique, dont la manifestation est souvent moins spectaculaire que les blessures physiques. L’utilisation de médicaments - antidépresseurs dans ces cas - peut entraîner des conséquences plus graves, voire une addiction, dans la mesure où se remémorer un événement douloureux est souvent source d’un second choc encore plus intense. Grâce à l’hypnose, le patient retourne au niveau exact où les événements qui ont causé son traumatisme se sont produits. Dans un état modifié de conscience, il retrace son chemin progressivement, avec l’aide du thérapeute qui le guide dans une conversation douce et respectueuse. Le patient opère lui-même les changements qui vont le mener à la guérison.
A côté d’un traitement médicamenteux souvent lent et lourd, l’hypnose soigne le traumatisme psychique par le biais de quelques séances seulement. Un réel avantage qui permet à l’individu d’avancer rapidement vers un avenir plus serein.

Entre l’hypnose et la thérapie cognitive et comportementale, le Retraitement de l’Information Traumatique par les Mouvements Oculaires (RITMO) est une technique de thérapie brève apparentée à l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) qui peut être d'un grand secours. Elle aide les patients à "ranger" leurs mémoires traumatiques en cas de stress post-traumatique. Ce processus est très efficace sur tous les traumatismes, les syndromes de stress post-traumatiques, les peurs, les angoisses, etc.

Vidéo : Comment faire son deuil avec l'hypnose ?

La séance commence par un entretien avec le thérapeute afin de recueillir le maximum d'informations sur le mal-être ressenti et sa cause.
Je vous propose ensuite de penser au moment du traumatisme, en laissant monter l’émotion et les sensations physiques associées, tout en gardant à l’esprit les aspects sensoriels les plus perturbants (image, son, odeur). Puis, je vous demande de suivre du regard mon doigt que je déplace devant vos yeux de gauche à droite ;
Je peux aussi vous proposer d’autres simulations comme des bips dans un casque ou des tapotements sur les genoux ou encore un claquement de doigts ;
La stimulation dure généralement quelques dizaines de minutes, puis le patient exprime au thérapeute ses sensations, ses émotions et ses pensées.
Ce processus de stimulation puis d’expression est reproduit plusieurs fois pendant la séance. Le patient revit l’émotion de son traumatisme avec la même intensité. Mais, celle-ci va peu à peu diminuer jusqu’à disparaître. Puis l’EMDR va utiliser un processus semblable afin d’amener le patient à développer une pensée positive et constructive sur l’événement qu’il a vécu. Plusieurs séances peuvent être nécessaires pour traiter un seul souvenir. Pour les enfants, le traitement peut se faire en présence des parents en fonction de l’âge de l’enfant.
Une séance de ce type dure entre 60 à 90 mn (plus courte chez l’enfant). Pendant cette période, le patient peut traverser des émotions intenses, et dans les jours qui suivent, il ressent généralement une nette amélioration.

L'EMDR ou le RITMO permet la prise en charge du stress dès la première séance. Avec plusieurs séances, suivant la sévérité du traumatisme, l'EMDR ou le RITMO permet de changer la perception du traumatisme et de dépasser ses symptômes (troubles, crises de panique, angoisses…).
Avec l'EMDR ou le RITMO, on agit directement sur l’origine du problème et cela permet de dépasser bon nombre des troubles directs ou indirects associés au traumatisme. Les résultats sont spectaculaires, des problèmes qui ont pu durer pendant 10 ans ou plus s’effacent en quelques séances.
Avec cette technique, on ne change pas le passé ou l’évènement d’origine. Il ne s’agit surtout pas d’oublier le traumatisme, car c’est la cause principale des problèmes qu’il occasionne.
L’hypnose et le RITMO permettent de travailler sur la perception de l’évènement, pour qu’elle n’altère plus les comportements et permette de vivre une vie normale, en faisant disparaître les états de stress.

Ce qui change après une séance :
Imaginez vous libérer du fardeau de vos peurs de vos angoisses, des vieux souvenirs désagréables ancrés, vous réconcilier avec votre joie de vivre, votre passé afin que celui-ci ne soit plus devant vous, mais derrière vous. Des opportunités nouvelles pourront alors s’offrir à vous.

Lorsqu’on parle de deuil, on pense bien sûr à la perte d’une personne proche.
Toutefois, le deuil peut prendre bien d’autres formes. Par exemple, le deuil d’une capacité physique dans le cas d’un handicap lié à un accident ou à une maladie. Le deuil d’une vie de couple suite à une séparation ou un divorce. Le deuil d’un emploi suite à un licenciement ou à tout autre motif. Le deuil d’un endroit, d’une maison, suite à un déménagement.
Les situations de deuil peuvent être nombreuses et variées. Chacune peut être accompagnée par de l’hypnose.
Et s’il arrive parfois que certains soient tentés de dire « mais au final, ce que je vis n’est rien par rapport à ce que vivent d’autres personnes », pensez juste qu’il n’est pas judicieux de classer les histoires de chacun par ordre d’importance. Ce qui compte, c’est l’intensité des émotions qui sont liées à votre propre histoire.

C'est un trouble psychologique qui peut apparaître à la suite d'un événement traumatisant (accident de voiture, viol, deuil, agression...). Pour être qualifié de "post-traumatique", le stress doit faire suite à un événement soudain et destructeur pour le psychisme. La personne a le sentiment que son intégrité ou sa sécurité intérieure est menacée.
Hypersensibilité, troubles du sommeil et de l'attention, hypervigilance sont les principaux symptômes. Mais on ne parle de stress post-traumatique que s'ils durent depuis plus d'un mois.

Le sigle EMDR signifie Eye Movement Desensitization and Reprocessing ou désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires pour les non-anglophones. Tout comme l’hypnose,l’EMDR est capable de venir à bout des formatages inconscients les plus tenaces. Mais les deux médecines douces diffèrent foncièrement dans leur pratique.
Pour comprendre en quoi consiste l’EMDR, rien ne vaut une petite histoire. Imaginez votre cerveau comme une immense bibliothèque. Chaque instant vécu se transforme en souvenir et y est classé méticuleusement suivant les rayons (moments entre amis, travail, à la maison…) pendant une certaine phase de notre sommeil. Cette dernière se caractérise par des mouvements oculaires bien spécifiques.
Lorsqu’un événement violent ou traumatique advient, l’instant se change bel et bien en souvenir, mais face au choc, le cerveau est incapable de le ranger dans la bibliothèque. Il préfère donc le laisser là, en plein milieu. Il peut même l’oublier.
La vie continue, mais chacun des instants vécus passe à travers le prisme de ce souvenir traumatique non digéré. Et dès qu’il y a des similitudes (situations, odeurs, sons…) entre le moment présent et le traumatisme, le cerveau se remémore qu’il ne l’a pas rangé et se réveille douloureusement.
Le thérapeute va se charger de ranger manuellement l’événement dans la bibliothèque en reproduisant le mouvement oculaire inconscient que nous effectuons durant notre sommeil. Une fois classé, le souvenir n’aura pas disparu. En revanche, la douleur et les émotions associées, oui.
Bon à savoir : L’EMDR est reconnue pour son efficacité par l’OMS, mais ne peut être pratiquée que par des psychologues, psychiatres et psychothérapeutes agréés. Mais les hypnothérapeutes ont accès à une autre technique : le RITMO (Retraitement de l’Information Traumatique par les Mouvements Oculaires), basé sur le même mécanisme.

Notre cerveau a naturellement la capacité d’évacuer n’importe quel choc et n'importe quel traumatisme, quel que soit son importance. Ce processus est inné, mais il n’en est pas moins complexe. Les fondamentaux de la psychopathologie identifient diverses étapes indispensables au traitement d’un traumatisme. Pour des raisons qui n’ont que peu d’importance, il arrive que le traitement de l’une de ces étapes essentielles ne se déroule pas comme elle le devrait. Lorsque ce processus naturel se bloque, des symptômes peuvent apparaître comme des crises d’angoisse, de la boulimie, des phobies, des troubles du comportement…
L’hypnose est une vraie solution. L’Hypnotiseur, par des méthodes avancées, a la capacité d’identifier l’élément bloquant et d’agir directement sur le travail de traitement de l’information. Le processus est relancé afin que, cette fois-ci, toutes les étapes se déroulent comme il se doit. L’événement traumatisant est « digéré » de façon définitive, le sujet est libéré des conséquences que le traumatisme avait pu avoir sur sa vie quotidienne. Plus la prise en charge est rapide suivant l’apparition des symptômes, plus les résultats seront rapides.

Il n'y a pas l'échelle du traumatisme.
On peut être marqué par un événement d'apparence anodine et surmonter simplement des épreuves très dures. On peut se considérer comme "traumatisé" si l'on pense régulièrement au choc, ou si des symptômes apparaissent (anxiété, stress, TOC, cauchemars... )

L'hypnose traite le traumatisme au niveau psychopathologique et libère des conséquences de celui ci. Vous ne penserez plus au traumatisme, non pas parce que vous l'avez oublié, mais plutôt parce que la travail psychologique qu'il y avait à faire à ce sujet à été réalisé avec succès.

L'un des domaines ou l'hypnose est la plus efficace est le domaine du stress post traumatique. En effet, l'hypnose peur traiter le traumatisme d'une manière si efficace que le syndrome du stress post traumatique disparait rapidement après l'hypnothérapie.

Le RITMO est le Retraitement de l’Information Traumatique par les Mouvements Oculaires. Cette technique été mise au point par Lili Ruggieri. Il s’agit d’une technique hypnotique dérivée de l’EMDR.
Le Ritmo est particulièrement adapté aux personnes atteintes d’un syndrome de stress post-traumatique. Cette technique s’applique à désensibiliser l’impact émotionnel lié à différents traumatismes par des stimulations sensorielles en alternance des deux côtés du corps. Soit à un niveau oculaire, auditif ou cutané. Les stimulations bilatérales peuvent être visuelles, auditives ou kinesthésiques (tapotements au niveau des genoux).
Elle fait appel à notre capacité naturelle d’auto-guérison grâce à la plasticité de notre cerveau. Elle agit sur notre cerveau afin de relancer le processus de traitement de l’information liée au traumatisme, pour en modifier la perception, l’intégrer et la dépasser.
Le cerveau dans son fonctionnement habituel a tendance à traiter l’émotion liée à un événement de façon à diminuer au fur et à mesure. Cependant dans certains cas, l’émotion est trop forte pour être traité naturellement provoquant alors ce qu’on appelle le stress post-traumatique. C’est dans ces cas que l’utilisation du RITMO est particulièrement .
C’est une thérapie brève et une à quelques séances suffisent généralement.
Le RITMO ou Retraitement de l’Information Traumatique par les Mouvements et l’EMDR ont de nombreux points communs et leur principale différence se trouve dans la catégorie professionnelle ayant accès à leur apprentissage. L’EMDR est exclusivement réservé aux professionnels de la santé.

La plupart des patients ne sont conscients que d’une ombre de l’expérience traumatique initiale, alors que d’autres la sentent à un degré plus fort. À la différence de nombreuses autres thérapies, les patients traités avec l’EMDR ne sont pas invités à revivre le trauma intensément ni pendant des périodes prolongées. Avec la thérapie EMDR, quand il y a un niveau élevé d’intensité, il dure seulement pendant quelques instants et diminue ensuite rapidement. S’il ne diminue pas rapidement de lui-même, le praticien a été formé pour aider à le faire descendre. Le patient a aussi été formé, avant de commencer la thérapie EMDR, à des techniques permettant de soulager immédiatement une détresse qui s’avèrerait trop intense.

Comme avec toute forme de psychothérapie, il peut y avoir une augmentation provisoire de la détresse. Des souvenirs douloureux non-résolus peuvent émerger. Certains patients peuvent éprouver des réactions pendant une séance de traitement que ni eux ni le praticien n’aurait pu prévoir, comme un niveau élevé d’émotion ou de sensations physiques. Après la fin de la séance, le re-traitement de l’information émotionnelle liée à l’incident ou au matériel qui a été évoqué peut continuer de se faire par lui-même. Des rêves, d’autres souvenirs, d’autres émotions inhabituelles peuvent se manifester. C’est généralement un signe qu’un travail en profondeur est en train de se faire.

La durée du traitement et le nombre de séances dépendent essentiellement du trouble ou de la pathologie dont souffre le patient.
D’une manière générale, le praticien ne commence vraiment la thérapie qu’après quelques entretiens consacrés à :
l’évaluation clinique des troubles, des indications et contre-indications d’une telle thérapie,
l’anamnèse, c’est-à-dire la prise de l’histoire de vie, la plus complète possible,
une préparation du patient : explication de la thérapie et mise en place obligatoire de quelques techniques de relaxation.

Plusieurs séances de stabilisation sont souvent nécessaires dans les cas de traumatismes psychologiques graves ou complexes.
D’une manière générale, et purement indicative, le nombre de séances peut varier de quelques unités pour les psychotraumatismes simples (ex : accident unique ou agression, à l’âge adulte…), à plusieurs dizaines de séances pour les expériences traumatiques anciennes ou répétées, altérant l’identité même du patient (ex : abus sexuels répétés dans l’enfance…).
La fréquence des séances est variable : de une à trois séances par semaine, à une séance tous les quinze jours.
Insistons sur le fait que toutes ces données sont purement indicatives, sans caractère absolu, liées surtout à la spécificité propre de chaque cas. C’est dire l’importance des tout premiers entretiens, tant sur le plan technique qu’humain, quand se tisse l’alliance thérapeutique… Le praticien pourra alors proposer des réponses bien adaptées aux inévitables questionnements du patient.

Bien sûr, la thérapie EMDR ou RITMO peut être utilisée avec l’enfant, et ceci dés son plus jeune âge (deux ou trois ans). Elle s’adapte alors à ses besoins et son niveau de fonctionnement.
La collaboration du ou des parents est essentielle. Il en est de même pour l’adolescent. Comme pour l’adulte, le nombre de séances peut varier de quelques unes à une ou plusieurs dizaines en fonction de la difficulté présentée.

Suite à un accident de voiture, j’ai développé ce que l’on appelle un stress post-traumatique. Par la suite, j'ai enduré des moments de souffrance psychique avec son cortège d’inconforts et d’angoisses, jusqu’à ce que je découvre l'EMDR, en consultant les possibilités qui étaient offertes aux personnes ayant vécus ce type de stress, comme moi.
Cette séance a été une révélation et j’ai été littéralement transformé ! Suite à la première séance, non seulement je n’avais plus de symptômes liés aux SPT, mais je me sentais réellement guéri ! (…) Elle m’a tout simplement permis de digérer mon traumatisme et de redevenir ce que j’étais avant l’accident, c’est à dire moi même.

Christophe
28 ans, Nemours (Seine-et-Marne)

Agée aujourd'hui de 38 ans, j'ai connu l’inceste de 7 à 12 ans dans une "famille spéciale" avec un père alcoolique et colérique. Peur, terreur, souffrance, il m’a volé mon innocence. Cette histoire m’a persécuté jusqu’à aujourd'hui. Mon incapacité à m’aimer, aucune estime de moi. Depuis mon enfance, j’ai vécu des émotions fortes et destructrices, cela comme une fatalité. Avec des hauts et des bas mais toujours poursuivie par mon passé. De dépression en dépression, entre psychiatres et isolement. Puis, ma meilleure amie m’a parlé de son expérience de l’hypnose en EMDR avec exaltation. Elle a donc pris RDV pour moi pour tester.
Et là, une journée forte et magique. Je n’oublierai jamais cette expérience.
Aujourd’hui, j’ai l’impression d’avoir vécu dans un brouillard épais avec ma souffrance. La souffrance que j'ai totalement oublié ! Je vis aujourd’hui dans la lumière et dans le miroir, je vois une autre femme, moi.
Cette expérience a changé ma vie et celle de mes deux filles. Mon entourage m’a trouvée changée, amis, collègues de travail…

Marie-Hélène
27 ans, Bagneaux (Seine-et-Marne)

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